Des effets immédiats et des répercussions sur le long-terme de la violence envers les enfants
La violence physique et psychologique est à proscrire.
Il est en plein développement. Il a été prouvé scientifiquement que la violence crée une forte dose d’hormones du stress, le cortisol.
Cela a un impact négatif le développement du cerveau. Au moment de la violence, l’enfant va devoir gérer plusieurs émotions, notamment le stress, la honte, la tristesse… et il faut également compter les blessures qu’il peut avoir dues aux violences physiques.
Alors, oui, un acte de maltraitance isolé n’aura que peu d’effet sur le long terme, mais il peut créer un précédent. Plus un enfant sera soumis à de la violence, plus il va secréter ces hormones. En trop forte quantité, elles sont néfastes pour son développement et cela va se répercuter sur le futur adulte.
De plus, il a été prouvé qu’un enfant témoin de violences familiales connaitra les mêmes répercussions sur son développement et santé que s’il était lui-même la cible.