J’en suis à un moment de ma vie où je n’ai besoin d’impressionner personne. Je suis comme je suis, et ce que pensent les autres de moi m’importe peu. Je n’ai pas besoin de masque, je n’ai pas besoin de tromper ni de prétendre. Parce que je peux être qui je suis vraiment. Je n’ai pas besoin de faire rire ou de faire croire que je ne pleure jamais. Je n’ai pas besoin d’être toujours forte, ou d’être toujours agréable.

La colère est l’un des sept péchés capitaux, mais à petites doses, elle peut non seulement être pardonnée, mais même être utile. Dans la société d’aujourd’hui, en vérité, les rythmes frénétiques, le stress et les situations auxquelles chacun est soumis donnent beaucoup trop de raisons de perdre son sang-froid, alors l’on essaye le plus souvent de maîtriser et de contrôler sa colère, plutôt que de l’exprimer. Une étude récente semble changer les cartes sur table en affirmant qu’un peu de colère peut aussi être thérapeutique.

L’amitié au travail, ça existe et ça change des vies ! Si vous aussi vous formez un duo inséparable avec l’une de vos collègues, vous avez de la chance car en plus d’embellir vos journées, elle vous rend meilleure.

L’éducation des enfants est un des défis majeurs que les parents doivent affronter et souvent ces derniers se trouvent en mettre des limites. Le mot « limite » est considéré comme quelque chose de négatif, mais il y a un grand malentendu derrière tout cela. Une limitation est certes quelque chose qui a rencontré des frontières, mais c’est aussi quelque chose qui guide : fixer des limites signifie aider la croissance personnelle de nos enfants et faciliter leur développement. Cela signifie éduquer.

Que vous l’aimiez ou non, il est impossible de ne pas connaître l’histoire de Winnie l’ourson et de ses amis dans les bois des 100 acres. La saga à succès inventée par l’écrivain britannique Alan A. Milne en 1926, est devenue universellement célèbre grâce à Disney, qui autour de l’ours en peluche a réalisé d’innombrables dessins-animés et films.

Avez-vous déjà vu des gens dans la rue ou dans les supermarchés parler à voix haute ? Eh bien, même s’ils semblent fous, ils ne le sont pas et c’est une étude américaine récente qui le prouve. Selon les psychologues Gary Lupyan et Daniel Swingley, ce sont les personnes les plus intelligentes qui donnent libre cours à leurs pensées en public. Albert Einstein est un exemple qui nous rappelle que derrière cette pratique inhabituelle se cache un génie.

Depuis toujours, les parents se battent pour essayer d’inculquer à leurs enfants, et notamment leurs filles, l’habitude de garder leur chambre rangée, souvent avec des résultats médiocres. L’importance d’un environnement bien organisé est soulignée dès le plus jeune âge, afin que les filles une fois adultes soient capables de garder leur maison dans un état présentable. Cependant, la science semble rebattre les cartes et réévaluer la situation.

Quand nous sommes jeunes, nous avons l’habitude de voir nos amis tous les jours; nous avions beaucoup de temps pour les rencontrer à potins ou de manger quelque chose.

Au siècle dernier, les sociétés ont profondément changé, transfigurées par le progrès et la technologie, et – comme pour beaucoup d’autres choses – ceux qui en sont le plus conscients sont les grands-parents, ou du moins les personnes âgées. Souvent, c’est précisément en regardant les enfants, avec lesquels la distance temporelle est plus grande, que leur étonnement – et parfois leur désapprobation – surgit : ils se souviennent de leur propre enfance, et avec nostalgie ils voient la nette différence avec celle que conduisent les jeunes d’aujourd’hui.

«Les décisions les plus difficiles à prendre sont celles qui vous présentent des chemins au bout desquels vous ne serez plus la même personne.